Détruire les odeurs désagréables et les bactéries indésirables.
Les odeurs font partie des éléments immédiats qui entrent en comptent dans l’impression que se fera le client d’un établissement (siège social d’entreprise, bureaux, surfaces commerciales, hôtels, restaurants, etc.). Il est donc important de pouvoir les détruire afin de garantir une expérience client qui soit la plus réussie possible. Maîtrisez les odeurs en augmentant l’hygiène de l’air intérieur.
Pathogènes aéroportés obtenus à partir d’un panache de sanitaires
Des études ont directement ou indirectement démontré que plusieurs types de bactéries et de virus pouvaient contaminer l’air à partir d’un dispositif de chasse d’eau.
E. coli : dans les années 1970, il a été découvert que des aérosols contenant des bactéries E. coli restaient en suspension dans l’air et viables pendant au moins 4 à 6 heures après le déclenchement de la chasse d’eau. Dans une autre expérience, des toilettes « ensemencées » d’une bactérie et d’un virus (poliovirus et bactériophage MS2) n’étaient pas entièrement débarrassées des micro-organismes après sept chasses d’eau, et les tentatives de nettoyage de la cuvette n’avaient eu qu’une efficacité limitée pour les éliminer.
Salmonella : plus récemment, en 2000, il a été découvert qu’il était possible de cultiver la Salmonella à partir d’échantillons d’air prélevés à proximité d’une cuvette de WC après avoir déclenché la chasse d’eau. La Salmonella subsistait par ailleurs pendant plus de 12 jours dans l’eau de la cuvette, et pendant 50 jours après l’« ensemencement » des toilettes avec les bactéries dans un biofilm sous la ligne de flottaison. Ceci démontre qu’un biofilm peut maintenir en vie des bactéries infectant l’eau d’une cuvette de toilettes ainsi que les aérosols générés au moment de tirer la chasse d’eau sur des périodes beaucoup plus longues.
Norovirus : on considère que la propagation du Norovirus sur des bateaux, y compris après des tentatives de désinfection de ces navires suite à une épidémie, est le résultat de la capacité des toilettes à continuer de produire des aérosols contaminés après plusieurs déclenchements de chasse d’eau, ainsi que de la résistance du Norovirus au nettoyage et à la désinfection.
Influenza : certains patients infectés par la souche H1N1 du virus de la grippe souffrent de diarrhée. Par ailleurs, le virus a été détecté dans les selles et l’urine, ce qui signifie qu’il existe un risque de transmission aéroportée au travers du panache de toilettes.
Coronavirus : l’OMS a déterminé que le SARS-CoV-1 était la source d’une super-contamination à Hong Kong, intervenue dans un appartement, et qui a provoqué 342 infections ainsi que 42 décès. Le gouvernement de Hong Kong a découvert que la diffusion du virus avait probablement été causée par des aérosols chargés de virus provenant du réseau d’égouts et tirés au travers de raccords en U asséchés dans les siphons de sol de salles de bains d’autres appartements via les ventilateurs aspirants installés dans les salles de bains. Quelques particules d’aérosol pourraient ensuite avoir été expulsées vers l’extérieur de l’immeuble comptant plusieurs étages, puis avoir été transportées en direction ascendante vers d’autres immeubles collectifs.
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